Une plante verte que l’on rentre pour passer l’hiver au chaud.
Ça me revient…
Derrière une vieille fenêtre au voilage de tulle blanc, une plante-araignée perchée sur sa sellette laisse pendre ses longs tentacules ébouriffés. Un courant d’air passe, tous les membres agitent leur pompon. Un chaton s’invite et taquine les pelotes de feuilles. Il s’excite, boxe, s’énerve et bascule en arrière les griffes plantées dans sa balle verte. La sellette chavire. Le pot explose au sol. Le bruit est assourdissant. Ma mère arrive en criant devant le désastre. Le chaton, les oreilles rabattues, dérape sur le carrelage et s’enfuit pour se cacher sous la commode, où, penaud, il observera le nettoyage.
Note : Chlorophytum «Vittatum»
Ah les conneries des chats! 🙂
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Les bêtises des chatons sont tellement pardonnables aussi, même si sur le moment on n’en rit pas forcement…
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